C'est à 1 h 19 le matin du 30 mars 2012 que j'ai pressé le bouton « send », envoyant ainsi par courriel une version entièrement française de mon manuscrit à celui qui, je l'espère de tout coeur, deviendra mon éditeur.
Je me suis aussi permis, la semaine dernière, de faire une nouvelle bannière-titre pour mon blogue. Les cinq photos représentent bien l'évolution du groupe dont il est question dans mon roman, des Quarry Men aux Beatles. Ringo n'y figure toujours pas, mais il ne se joindra au groupe que dans le deuxième roman. J'ai encore un peu de recherches à faire avant d'en commencer la rédaction, mais j'y pense sans arrêt, ce qui est toujours un bon signe.
En attendant, je vais prendre un petit congé de l'écriture. Une ou deux semaines tout au moins. La traduction s'est révélée beaucoup plus ardue que je ne l'aurais crû. Chapeau à ceux qui en ont fait une profession!
L'attente de la réponse du comité de lecture de l'éditeur va sans doute être pénible, mais comme on dit, ça fait partie du jeu!
Le projet:
Ce blog est un compte-rendu de mon projet: la toute première série de romans historiques sur les Beatles.
Le premier volume, publié au Québec par Les Éditeurs Réunis le 9 janvier 2013, s'intitule "Les Beatles, un roman - 1957-1960"
Le deuxième volume "Les Beatles, un roman - 1960-1962" est paru le 20 novembre 2013.
Le troisième volume est en chantier!
29.3.12
19.3.12
Traduction terminée
Je viens de terminer la traduction et la première relecture des dialogues de mon roman que j'appelle maintenant "Le roman des Beatles, 1957-1960" (ce ne sera certainement pas le nom que va choisir l'éditeur, mais bon, en attendant, ça me satisfait.)
Ça été beaucoup plus long que je ne le pensais, en partie parce que je n'avais pas beaucoup de temps à y consacrer, mais aussi parce qu'il y a énormément de dialogues dans la deuxième partie!
Mon manuscrit traduit est présentement entre les mains de mes deux premiers lecteurs et correcteurs. J'attends leurs commentaires avant de l'envoyer au comité de lecture de l'éditeur.
Une nouvelle étape de franchie, je suis très satisfait. Putain de bordel de merde!
2.3.12
Un mois pour la traduction
L'éditeur intéressé m'a rejoint ce matin. Nous nous sommes entendus pour que je lui fournisse une version française d'ici le premier avril prochain. Après quoi le roman sera soumis à leur comité de lecture qui décidera si oui ou non le projet va de l'avant.
La date limite de un mois est tout à fait raisonnable puisque j'en suis déjà à plus de cent pages en quelques jours seulement.
D'un autre côté, j'ai discuté la semaine dernière avec un agent littéraire (un des rares au Québec) et bien qu'il ne sache pas encore s'il désire me représenter de façon permanente, il serait prêt à m'épauler pour la négociation de mon premier contrat. C'est très rassurant.
Quand au deuxième éditeur intéressé, il m'a fait savoir par email qu'une version bilingue ne se vendrait pas suffisamment pour que ça soit profitable. Il a peur également que le sujet nécessite beaucoup de publicité, ce qu'il ne serait pas prêt à faire. Je l'ai donc relancé en lui demandant si une version entièrement française serait acceptable, lui expliquant que je travaillais d'arrache-pied pour la terminer bientôt. Je n'avais rien à perdre...
Je compte profiter du mois qui vient pour continuer à envoyer mon manuscrit à d'autres éditeurs, canadiens et américains. Tant que je n'ai pas de contrat entre les mains, c'est "fair game", non?
La date limite de un mois est tout à fait raisonnable puisque j'en suis déjà à plus de cent pages en quelques jours seulement.
D'un autre côté, j'ai discuté la semaine dernière avec un agent littéraire (un des rares au Québec) et bien qu'il ne sache pas encore s'il désire me représenter de façon permanente, il serait prêt à m'épauler pour la négociation de mon premier contrat. C'est très rassurant.
Quand au deuxième éditeur intéressé, il m'a fait savoir par email qu'une version bilingue ne se vendrait pas suffisamment pour que ça soit profitable. Il a peur également que le sujet nécessite beaucoup de publicité, ce qu'il ne serait pas prêt à faire. Je l'ai donc relancé en lui demandant si une version entièrement française serait acceptable, lui expliquant que je travaillais d'arrache-pied pour la terminer bientôt. Je n'avais rien à perdre...
Je compte profiter du mois qui vient pour continuer à envoyer mon manuscrit à d'autres éditeurs, canadiens et américains. Tant que je n'ai pas de contrat entre les mains, c'est "fair game", non?
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