L'éditeur intéressé m'a rejoint ce matin. Nous nous sommes entendus pour que je lui fournisse une version française d'ici le premier avril prochain. Après quoi le roman sera soumis à leur comité de lecture qui décidera si oui ou non le projet va de l'avant.
La date limite de un mois est tout à fait raisonnable puisque j'en suis déjà à plus de cent pages en quelques jours seulement.
D'un autre côté, j'ai discuté la semaine dernière avec un agent littéraire (un des rares au Québec) et bien qu'il ne sache pas encore s'il désire me représenter de façon permanente, il serait prêt à m'épauler pour la négociation de mon premier contrat. C'est très rassurant.
Quand au deuxième éditeur intéressé, il m'a fait savoir par email qu'une version bilingue ne se vendrait pas suffisamment pour que ça soit profitable. Il a peur également que le sujet nécessite beaucoup de publicité, ce qu'il ne serait pas prêt à faire. Je l'ai donc relancé en lui demandant si une version entièrement française serait acceptable, lui expliquant que je travaillais d'arrache-pied pour la terminer bientôt. Je n'avais rien à perdre...
Je compte profiter du mois qui vient pour continuer à envoyer mon manuscrit à d'autres éditeurs, canadiens et américains. Tant que je n'ai pas de contrat entre les mains, c'est "fair game", non?
je crains que vous n,apportiez rien de vraiment neuf
ReplyDeleteDans ma collection assez exhaustive de livres sur les Beatles (facilement plus de cinquante ouvrages) il n'y en a aucun qui ressemble à ce que j'ai écrit.
ReplyDeleteEn fait, j'ai écrit le livre que j'ai cherché, mais jamais trouvé sur le groupe de Liverpool.
J'espère bien qu'il plaira à ceux qui veulent en savoir plus sur les Fab Fours tout autant qu'aux fans qui connaissent tous les détails de leur histoire.
Mais ça, on ne sera jamais fixé tant qu'il ne sera pas publié...