« Les Beatles un roman, 1960-1962 » est en 16e position des meilleurs vendeurs de mon distributeur Prologue. Le premier volume n'avait jamais accédé à cette liste, inutile de vous dire à quel point ça m'a fait plaisir. Quel beau cadeau de fin d'année de mes lecteurs! Merci à tous et à toutes!
Voici le Lien pour la postérité...
Le projet:
Ce blog est un compte-rendu de mon projet: la toute première série de romans historiques sur les Beatles.
Le premier volume, publié au Québec par Les Éditeurs Réunis le 9 janvier 2013, s'intitule "Les Beatles, un roman - 1957-1960"
Le deuxième volume "Les Beatles, un roman - 1960-1962" est paru le 20 novembre 2013.
Le troisième volume est en chantier!
29.12.13
9.12.13
Nouveau commentaire sur le tome 2
J'ai reçu un nouveau commentaire sympathique via la page Facebook des romans. En voici des extraits :
Je dirai en commençant que ce qui me fascine le plus à propos des deux livres est la façon que tu as d'écrire qui fait en sorte que quand je suis dans ma bulle et que je lis, je n'habite plus au Québec. Je suis un liverpudlien qui vit à Liverpool et je prends part à l'aventure des Beatles comme si j'étais là avec eux. Le sentiment d'intimité que l'on arrive à développer avec eux comme s'ils étaient des amis. Se sentir proche des Beatles comme on peut se sentir proche des personnages de tout autre bouquin, je trouve ça exceptionnel.
Non franchement, j'ai vraiment aimé ton livre et j'avoue que je suis fébrile de lire la (les) suite. Voir et apprendre à connaitre les Beatles de cette façon (des gars ordinaires méconnus du public, paumés, jeunes et rebelles) J'espère vraiment que tu sauras continuer a les décrire avec autant de brio dans les prochaines étapes de leur vie (la gloire la richesse). Ils étaient tellement connus que j'imagine que leur vie privée était plus secrète que dans leur jeunes années.
De mon côté je parle de tes livres un peu partout autour de moi et je dis à ceux qui veulent que je leur prête les miens d'aller dépenser un peu que je les garde chez moi!
-Jean-François Forget
Je dirai en commençant que ce qui me fascine le plus à propos des deux livres est la façon que tu as d'écrire qui fait en sorte que quand je suis dans ma bulle et que je lis, je n'habite plus au Québec. Je suis un liverpudlien qui vit à Liverpool et je prends part à l'aventure des Beatles comme si j'étais là avec eux. Le sentiment d'intimité que l'on arrive à développer avec eux comme s'ils étaient des amis. Se sentir proche des Beatles comme on peut se sentir proche des personnages de tout autre bouquin, je trouve ça exceptionnel.
Non franchement, j'ai vraiment aimé ton livre et j'avoue que je suis fébrile de lire la (les) suite. Voir et apprendre à connaitre les Beatles de cette façon (des gars ordinaires méconnus du public, paumés, jeunes et rebelles) J'espère vraiment que tu sauras continuer a les décrire avec autant de brio dans les prochaines étapes de leur vie (la gloire la richesse). Ils étaient tellement connus que j'imagine que leur vie privée était plus secrète que dans leur jeunes années.
De mon côté je parle de tes livres un peu partout autour de moi et je dis à ceux qui veulent que je leur prête les miens d'aller dépenser un peu que je les garde chez moi!
-Jean-François Forget
5.12.13
3.12.13
Première critique du Tome 2
Voici le contenu d'une lettre adressée à mon éditeur que ce dernier m'a fait parvenir aujourd'hui:
Aux Éditeurs Réunis,
J'aimerais prendre un instant pour vous féliciter pour ce second roman sur les Beatles. Je viens d'en terminer la lecture, et je suis grandement impressionné. D'abord par la justesse des informations (je connais une chose ou deux sur les Beatles), mais aussi par la plume de son auteur. Éric Trudel connaît de toute évidence très bien son sujet, et il a su transposer sur papier l'irrévérence des Beatles et leur humour bien personnel. La justesse du ton est étonnante. Et c'est un réel plaisir pour moi que de lire une version romancée de cette histoire que je connais trop bien, et qui pourtant trouve ici un nouveau souffle absolument rafraîchissant.
Je possède une importante collection de livres et de documents sur les Beatles, écrits par des spécialistes des quatre coins du monde. Mais il est connu que la grande majorité des auteurs de ces livres se contente de répéter des informations déjà largement répandues. Bien peu peuvent prétendre offrir quelque chose de nouveau au lecteur. C'est exactement là que se trouve l'intérêt de vos romans. Je dois dire que rarement dans les dernières années ai-je eu l'occasion de lire un écrit sur les Beatles qui m'a autant passionné, et qui plus est, ne sentait pas le réchauffé. Réussir à apporter un vent nouveau à cette histoire souvent racontée s'avère selon moi une véritable prouesse. Et de la part d'un auteur québécois, en plus! Bravo à vous.
"Les Beatles, un roman" se retrouve sur le haut de ma pile de livres sur les Beatles, aux côtés des ouvrages les plus importants sur le sujet tels que The Beatles Anthology et The Complete Beatles Recording Sessions. Ce n'est pas peu dire. Je suis sûr que les connaisseurs des Beatles du monde entier en reconnaîtront la valeur, et que la série sera appelée à devenir un incontournable dans la collection de tout amateur sérieux. Je pèse mes mots.
Combien y aura-t-il de tomes? Et comptez-vous en faire une traduction anglaise prochainement?
Encore bravo!
Louis-Gabriel Pothier
Vous comprendrez pourquoi je voulais la partager... C'est la première fois qu'on estime à ce point les recherches que j'ai effectuées ces dernières années. Comme si on me disait: "tu n'es pas qu'un Beatlemaniac, mais bien un spécialiste sur le sujet."
Et c'est exactement ce que j'espérais! Ça et me faire dire que j'ai une belle plume dans la même critique je sens ma tête rougir et enfler un peu...
Aux Éditeurs Réunis,
J'aimerais prendre un instant pour vous féliciter pour ce second roman sur les Beatles. Je viens d'en terminer la lecture, et je suis grandement impressionné. D'abord par la justesse des informations (je connais une chose ou deux sur les Beatles), mais aussi par la plume de son auteur. Éric Trudel connaît de toute évidence très bien son sujet, et il a su transposer sur papier l'irrévérence des Beatles et leur humour bien personnel. La justesse du ton est étonnante. Et c'est un réel plaisir pour moi que de lire une version romancée de cette histoire que je connais trop bien, et qui pourtant trouve ici un nouveau souffle absolument rafraîchissant.
Je possède une importante collection de livres et de documents sur les Beatles, écrits par des spécialistes des quatre coins du monde. Mais il est connu que la grande majorité des auteurs de ces livres se contente de répéter des informations déjà largement répandues. Bien peu peuvent prétendre offrir quelque chose de nouveau au lecteur. C'est exactement là que se trouve l'intérêt de vos romans. Je dois dire que rarement dans les dernières années ai-je eu l'occasion de lire un écrit sur les Beatles qui m'a autant passionné, et qui plus est, ne sentait pas le réchauffé. Réussir à apporter un vent nouveau à cette histoire souvent racontée s'avère selon moi une véritable prouesse. Et de la part d'un auteur québécois, en plus! Bravo à vous.
"Les Beatles, un roman" se retrouve sur le haut de ma pile de livres sur les Beatles, aux côtés des ouvrages les plus importants sur le sujet tels que The Beatles Anthology et The Complete Beatles Recording Sessions. Ce n'est pas peu dire. Je suis sûr que les connaisseurs des Beatles du monde entier en reconnaîtront la valeur, et que la série sera appelée à devenir un incontournable dans la collection de tout amateur sérieux. Je pèse mes mots.
Combien y aura-t-il de tomes? Et comptez-vous en faire une traduction anglaise prochainement?
Encore bravo!
Louis-Gabriel Pothier
Vous comprendrez pourquoi je voulais la partager... C'est la première fois qu'on estime à ce point les recherches que j'ai effectuées ces dernières années. Comme si on me disait: "tu n'es pas qu'un Beatlemaniac, mais bien un spécialiste sur le sujet."
Et c'est exactement ce que j'espérais! Ça et me faire dire que j'ai une belle plume dans la même critique je sens ma tête rougir et enfler un peu...
22.11.13
22 novembre 1963
Il y a cinquante ans aujourd'hui paraissait en Angleterre "With the Beatles" le second album du groupe.
Il contenait les chansons suivantes:
It Won't Be Long
All I've Got To Do
All My Loving
Don't Bother Me
Little Child
Till There Was You
Please Mister Postman
Roll Over Beethoven
Hold Me Tight
You Really Got A Hold On Me
I Wanna Be Your Man
Devil In Her Heart
Not A Second Time
Money (That's What I Want)
Et voici la couverture "Trudelifiée":
Il contenait les chansons suivantes:
It Won't Be Long
All I've Got To Do
All My Loving
Don't Bother Me
Little Child
Till There Was You
Please Mister Postman
Roll Over Beethoven
Hold Me Tight
You Really Got A Hold On Me
I Wanna Be Your Man
Devil In Her Heart
Not A Second Time
Money (That's What I Want)
Et voici la couverture "Trudelifiée":
20.11.13
Et les pires chansons des Beatles sont...
En cette journée de parution du deuxième tome de la série, et après le décompte des dix meilleures chansons des Beatles, nous vous offrons maintenant la liste des cinq pire!
Alors sans plus tarder :
5— Yer Blue : Impossible de ne pas la « skipper », celle-là!
4— Wild Honey Pie : à 52 secondes, peut-on même la qualifier de chanson? Ça reste insupportable!
3— The Word : Même si c'est une des siennes, John la détestait lui aussi...
2— Revolution 9 : bien qu'il faille respecter l'avant-gardisme de cet enregistrement, c'est tout simplement inécoutable.
1— Only a Northern Song : aucune autre chanson ne tape autant sur les nerfs que cette horreur de George...
Alors sans plus tarder :
5— Yer Blue : Impossible de ne pas la « skipper », celle-là!
4— Wild Honey Pie : à 52 secondes, peut-on même la qualifier de chanson? Ça reste insupportable!
3— The Word : Même si c'est une des siennes, John la détestait lui aussi...
2— Revolution 9 : bien qu'il faille respecter l'avant-gardisme de cet enregistrement, c'est tout simplement inécoutable.
1— Only a Northern Song : aucune autre chanson ne tape autant sur les nerfs que cette horreur de George...
19.11.13
Et la meilleure chanson des Beatles est...
Ma chanson préférée des Beatles est un choix qui pourrait être considéré comme étrange. C'est une chanson méconnue, car elle est seulement apparue sur la face B d'un single dont la face A était « Paperback Writer ». C'est une chanson qui regroupe tout ce que j'aime du groupe...
Rain
Une composition de John, Rain est exemplaire à tous les niveaux. Elle a été enregistrée à une époque où les Beatles commençaient à expérimenter en studio. Pas de querelles, pas de jalousie, seulement une franche camaraderie et un désir de se dépasser les habitaient. Ils avaient commencé à expérimenter certaines drogues, mais n'avaient pas encore sombré dedans... Leur nouvel ingénieur de son, Geoff Emerick était jeune, ambitieux et possédait comme eux le désir d'essayer de nouvelles techniques. Deux mois après la parution de cette chanson, Revolver allait dévoiler au monde entier la véritable force créatrice du groupe qui allait bouleverser le monde de la musique.
Je considère Rain comme la chanson charnière entre la période « yeah yeah yeah » et la période « psychédélique expérimentale ». Elle possède les meilleurs attributs des deux périodes. Il se dégage de ses paroles simplistes une certaine innocence, mais sa sonorité globale est très complexe. Paul y joue une ligne de basse ensorcelante et Ringo nous offre une de ses meilleures performances à vie. Et il y a le bout de paroles à l'envers à la fin... John, « stonned out of his head » voulait écouter chez lui ce qu'ils avaient fait pendant la journée. Il a mis le ruban à l'envers et a tellement aimé ce qu'il a entendu qu'il est arrivé le lendemain en studio en insistant pour que la chanson entière soit chantée à l'envers! Heureusement pour nous, George Martin est parvenu à le convaincre qu'une seule phrase suffisait... John en a toujours été fier :
« That one is a gift of God. Of Jah, actually, the god of marijuana. Jah gave me that one. The first backwards tape on any record anywhere. Before Hendrix, before The Who, before any fucker. »
(Celle-là, c'est un cadeau de Dieu. De Jah, en fait, le dieu de la marijuana. Le premier ruban joué à l'envers sur un disque de l'histoire. Avant Hendrix, avant The Who, avant n'importe quel fis de pute.)
Alors voilà, pour toutes ces raisons et surtout, parce que c'est une fichue de bonne chanson qui se fredonne bien, Rain se retrouve en première position dans mon palmarès des meilleures chansons des Fab Four.
Voici un lien pour la redécouvrir...
http://www.youtube.com/watch?v=0aOJGJD-SQc
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1- Rain (1966)
2- A Day In the Life (1967)
3- Don't Let Me Down (1969)
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
Ne manquez pas mon post de demain, pour célébrer la sortie de mon deuxième roman, je révélerais les cinq plus mauvaises chansons du groupe, histoire de rire un peu... Ironiquement, ces cinq pires chansons sont encore bien meilleures que la majorité de celles que l'on entend de nos jours à la radio!
Rain
Une composition de John, Rain est exemplaire à tous les niveaux. Elle a été enregistrée à une époque où les Beatles commençaient à expérimenter en studio. Pas de querelles, pas de jalousie, seulement une franche camaraderie et un désir de se dépasser les habitaient. Ils avaient commencé à expérimenter certaines drogues, mais n'avaient pas encore sombré dedans... Leur nouvel ingénieur de son, Geoff Emerick était jeune, ambitieux et possédait comme eux le désir d'essayer de nouvelles techniques. Deux mois après la parution de cette chanson, Revolver allait dévoiler au monde entier la véritable force créatrice du groupe qui allait bouleverser le monde de la musique.
Je considère Rain comme la chanson charnière entre la période « yeah yeah yeah » et la période « psychédélique expérimentale ». Elle possède les meilleurs attributs des deux périodes. Il se dégage de ses paroles simplistes une certaine innocence, mais sa sonorité globale est très complexe. Paul y joue une ligne de basse ensorcelante et Ringo nous offre une de ses meilleures performances à vie. Et il y a le bout de paroles à l'envers à la fin... John, « stonned out of his head » voulait écouter chez lui ce qu'ils avaient fait pendant la journée. Il a mis le ruban à l'envers et a tellement aimé ce qu'il a entendu qu'il est arrivé le lendemain en studio en insistant pour que la chanson entière soit chantée à l'envers! Heureusement pour nous, George Martin est parvenu à le convaincre qu'une seule phrase suffisait... John en a toujours été fier :
« That one is a gift of God. Of Jah, actually, the god of marijuana. Jah gave me that one. The first backwards tape on any record anywhere. Before Hendrix, before The Who, before any fucker. »
(Celle-là, c'est un cadeau de Dieu. De Jah, en fait, le dieu de la marijuana. Le premier ruban joué à l'envers sur un disque de l'histoire. Avant Hendrix, avant The Who, avant n'importe quel fis de pute.)
Alors voilà, pour toutes ces raisons et surtout, parce que c'est une fichue de bonne chanson qui se fredonne bien, Rain se retrouve en première position dans mon palmarès des meilleures chansons des Fab Four.
Voici un lien pour la redécouvrir...
http://www.youtube.com/watch?v=0aOJGJD-SQc
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1- Rain (1966)
2- A Day In the Life (1967)
3- Don't Let Me Down (1969)
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
Ne manquez pas mon post de demain, pour célébrer la sortie de mon deuxième roman, je révélerais les cinq plus mauvaises chansons du groupe, histoire de rire un peu... Ironiquement, ces cinq pires chansons sont encore bien meilleures que la majorité de celles que l'on entend de nos jours à la radio!
Une soirée de veille
Si vous vous demandez ce qu'un auteur fait la veille du Salon du livre de Montréal et bien voilà:
Merci à Eric Henry pour la belle caricature!
Merci à Eric Henry pour la belle caricature!
18.11.13
Et de deux!
Plus que deux jours avant la parution de mon second livre "Les Beatles un roman 1960-1962" et nous en arrivons à la deuxième meilleure chanson dans le répertoire du fameux groupe de Liverpool.
"I read the news today, oh boy..."
Ainsi commence une des chansons les plus considérables des Beatles. Une réelle collaboration de groupe, à partir de deux compositions incomplètes de John et de Paul.
A Day In the Life
La chanson qui clôt Sergent Pepper's Lonely Heart Club Band est tout simplement magistrale. Un orchestre de 40 instruments y joue deux fois un crescendo cacophonique et la finale est une note interminable jouée par cinq pianos. Elle est remplie de référence de drogues (I love to turn you on; found my way upstairs and had a smoke / somebody spoke and I went into a dream) et possède selon moi la meilleure performance de Ringo à la batterie, la preuve ultime qu'il avait bien sa place dans ce groupe de génies.
Enregistrée en 34 heures en présence de Mick Jagger, Keith Richard, Brian Jones et Donavan, c'était du jamais vu à l'époque. En comparaison, les Beatles avaient enregistré l'album Please Please Me au complet en 10 heures seulement!
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2- A Day In the Life (1967)
3- Don't Let Me Down (1969)
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
"I read the news today, oh boy..."
Ainsi commence une des chansons les plus considérables des Beatles. Une réelle collaboration de groupe, à partir de deux compositions incomplètes de John et de Paul.
A Day In the Life
La chanson qui clôt Sergent Pepper's Lonely Heart Club Band est tout simplement magistrale. Un orchestre de 40 instruments y joue deux fois un crescendo cacophonique et la finale est une note interminable jouée par cinq pianos. Elle est remplie de référence de drogues (I love to turn you on; found my way upstairs and had a smoke / somebody spoke and I went into a dream) et possède selon moi la meilleure performance de Ringo à la batterie, la preuve ultime qu'il avait bien sa place dans ce groupe de génies.
Enregistrée en 34 heures en présence de Mick Jagger, Keith Richard, Brian Jones et Donavan, c'était du jamais vu à l'époque. En comparaison, les Beatles avaient enregistré l'album Please Please Me au complet en 10 heures seulement!
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2- A Day In the Life (1967)
3- Don't Let Me Down (1969)
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
17.11.13
En troisième position...
En troisième position dans mon décompte des meilleures chansons des Beatles, on retrouve une composition de John. Sa chanson d'amour ultime, dans laquelle il nous révèle deux choses : à quel point il aimait Yoko et à quel point il avait peur de la perdre.
Si John aimait projeter une image de mauvais garçon, frondeur et sûr de lui, ce n'était qu'une façade. Abandonné tout jeune par son père, traumatisé par la mort de sa mère et celle de son meilleur ami Stuart Sutcliffe, il avait une peur horrible d'être à nouveau abandonné. Et c'est ce qui ressort dans cette chanson; il lance à Yoko un appel désespéré, une supplication qui ne peut qu'émouvoir:
Don't Let Me Down
C'est une chanson un peu moins connue qui n'est sortie qu'en face B d'un single dont la face A était "Get Back". Elle a néanmoins eu l'honneur d'avoir été jouée lors du fameux "Rooftop Concert" le 30 janvier 1969. La chanson est créditée à "The Beatles with Billy Preston". Ce dernier, qui a commencé sa carrière avec Little Richard, y joue du clavier. Sa toute première rencontre avec les Beatles est racontée dans "Les Beatles un roman, 1960-1962" dont la sortie en librairie est imminente. - Mercredi, pour ceux qui ne savent pas compter...
Si John aimait projeter une image de mauvais garçon, frondeur et sûr de lui, ce n'était qu'une façade. Abandonné tout jeune par son père, traumatisé par la mort de sa mère et celle de son meilleur ami Stuart Sutcliffe, il avait une peur horrible d'être à nouveau abandonné. Et c'est ce qui ressort dans cette chanson; il lance à Yoko un appel désespéré, une supplication qui ne peut qu'émouvoir:
Don't Let Me Down
C'est une chanson un peu moins connue qui n'est sortie qu'en face B d'un single dont la face A était "Get Back". Elle a néanmoins eu l'honneur d'avoir été jouée lors du fameux "Rooftop Concert" le 30 janvier 1969. La chanson est créditée à "The Beatles with Billy Preston". Ce dernier, qui a commencé sa carrière avec Little Richard, y joue du clavier. Sa toute première rencontre avec les Beatles est racontée dans "Les Beatles un roman, 1960-1962" dont la sortie en librairie est imminente. - Mercredi, pour ceux qui ne savent pas compter...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3- Don't Let Me Down (1969)
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
16.11.13
Plus que quatre.
"Les Beatles un roman 1960-1962" sera disponible en librairies et au Salon du Livre de Montréal dans quatre jours seulement. Voici donc ma quatrième chanson préférée des Fab Four!
Je n'ai qu'à mentionner qu'elle comporte un des plus longs "fade out" de l'histoire de la musique pour que vous puissiez la deviner immédiatement...
Hey Jude
C'est une composition de Paul qui a failli s'appeler Hey Jules, car il l'a écrite en pensant à Julian Lennon qui vivait des moments difficiles lors du divorce de ses parents. John, de son côté, était certain que la chanson s'adressait à lui et lui donnait feu vert pour sa relation avec Yoko.
À propos des paroles, Paul voulait changer la ligne "The movement you need is on your shoulder" car il pensait qu'elle était "a bit crummy". John lui a répondu : "You won't, you know. That's the best line in it!"
Et comment ne pas parler du "fucking hell" de John à 2:58, qu'on entend clairement maintenant que la chanson a été remastérisée en 2009... Il se serait trompé de note ou aurait reçu un son distordant dans ses écouteurs et son mécontentement verbal aurait été capté par le micro de Paul... Les Beatles auraient choisi de le laisser dans la chanson en se disant que personne ne l'entendra jamais mais eux sauraient que c'est là!
Je n'ai qu'à mentionner qu'elle comporte un des plus longs "fade out" de l'histoire de la musique pour que vous puissiez la deviner immédiatement...
Hey Jude
C'est une composition de Paul qui a failli s'appeler Hey Jules, car il l'a écrite en pensant à Julian Lennon qui vivait des moments difficiles lors du divorce de ses parents. John, de son côté, était certain que la chanson s'adressait à lui et lui donnait feu vert pour sa relation avec Yoko.
À propos des paroles, Paul voulait changer la ligne "The movement you need is on your shoulder" car il pensait qu'elle était "a bit crummy". John lui a répondu : "You won't, you know. That's the best line in it!"
Et comment ne pas parler du "fucking hell" de John à 2:58, qu'on entend clairement maintenant que la chanson a été remastérisée en 2009... Il se serait trompé de note ou aurait reçu un son distordant dans ses écouteurs et son mécontentement verbal aurait été capté par le micro de Paul... Les Beatles auraient choisi de le laisser dans la chanson en se disant que personne ne l'entendra jamais mais eux sauraient que c'est là!
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3-
4- Hey Jude (1968)
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
15.11.13
Chanson numéro 5...
Ça commence à être sérieux : nous en sommes à la chanson numéro 5 dans ce décompte des meilleures chansons des Beatles...
C'est une chanson de McCartney dans laquelle il parle de sa mère, Mary, décédée alors qu'il n'avait que 14 ans. L'inspiration pour cette chanson lui est venue d'un rêve qu'il a eu, alors que les problèmes avec les autres Beatles ne faisaient que s'aggraver. Dans le rêve, sa mère lui est apparue pour lui dire simplement :
Let It Be
Il existe deux versions considérées comme officielles, l'une produite par George Martin et qui est parue sur un single avec You Know My Name et la seconde produite par Phil Spector, parue plus tard sur l'album du même nom, alors que Paul avait déjà quitté le groupe.
Considéré par beaucoup comme une des plus belles chansons des Beatles, il est ironique que John n'a jamais caché son profond dégoût pour cette composition de Paul. On l'entend même demander lors d'une des séances d'enregistrement : "Are we supposed to giggle during the solo?" (Est-on censé pouffer de rire pendant le solo?)
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3-
4-
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
C'est une chanson de McCartney dans laquelle il parle de sa mère, Mary, décédée alors qu'il n'avait que 14 ans. L'inspiration pour cette chanson lui est venue d'un rêve qu'il a eu, alors que les problèmes avec les autres Beatles ne faisaient que s'aggraver. Dans le rêve, sa mère lui est apparue pour lui dire simplement :
Let It Be
Il existe deux versions considérées comme officielles, l'une produite par George Martin et qui est parue sur un single avec You Know My Name et la seconde produite par Phil Spector, parue plus tard sur l'album du même nom, alors que Paul avait déjà quitté le groupe.
Considéré par beaucoup comme une des plus belles chansons des Beatles, il est ironique que John n'a jamais caché son profond dégoût pour cette composition de Paul. On l'entend même demander lors d'une des séances d'enregistrement : "Are we supposed to giggle during the solo?" (Est-on censé pouffer de rire pendant le solo?)
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3-
4-
5- Let It Be (1970)
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
14.11.13
Top Ten: Numéro 6!
Top Ten : Numéro 6, à six jours de la mise en marché de mon deuxième livre "Les Beatles un roman, 1960-1962".
C'est une chanson dynamique écrite par John, parue sur l'album Yellow Submarine. Selon Geoff Emerick, leur ingénieur de son, ce serait la dernière chanson enregistrée avec enthousiasme par le groupe avant que les problèmes internes ne commencent. Il s'agit de...
Hey Bulldog
Initialement, John avait écrit « Hey bullfrog », mais Paul s'est mis soudainement à aboyer pendant l'enregistrement (non, non, ils ne prenaient pas de drogues). Lennon a immédiatement improvisé « hey bulldog » et c'est resté.
C'est leur chanson rock par excellence et oui, je la préfère à Helter Skelter. C'est aussi ma sonnerie de cellulaire par défaut...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3-
4-
5-
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
C'est une chanson dynamique écrite par John, parue sur l'album Yellow Submarine. Selon Geoff Emerick, leur ingénieur de son, ce serait la dernière chanson enregistrée avec enthousiasme par le groupe avant que les problèmes internes ne commencent. Il s'agit de...
Hey Bulldog
Initialement, John avait écrit « Hey bullfrog », mais Paul s'est mis soudainement à aboyer pendant l'enregistrement (non, non, ils ne prenaient pas de drogues). Lennon a immédiatement improvisé « hey bulldog » et c'est resté.
C'est leur chanson rock par excellence et oui, je la préfère à Helter Skelter. C'est aussi ma sonnerie de cellulaire par défaut...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
2-
3-
4-
5-
6- Hey Bulldog (1969)
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
13.11.13
En septième position...
Le décompte des meilleures chansons des Beatles se poursuit avec la numéro 7, sept jours avant la parution de "Les Beatles un roman, 1960-1962".
La septième est une chanson de George Harrison, qui prouve enfin qu'il est capable de composer quelque chose à la hauteur de ce qu'offraient John et Paul.
Cette superbe balade a été écrite dans le jardin du guitariste Éric Clapton par une belle journée ensoleillée d'avril de l'année 1969. George s'était réfugié chez Clapton pour échapper à une journée avec les comptables de Apple...
La chanson a été sélectionnée pour ouvrir la face B de l'album Abbey Road et demeure ce que George a composé de mieux, selon moi.
Here Comes the Sun
À noter : John n’apparaît pas sur l'enregistrement, il récupérait alors d'un accident de voiture.
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
1-
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3-
4-
5-
6-
7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
La septième est une chanson de George Harrison, qui prouve enfin qu'il est capable de composer quelque chose à la hauteur de ce qu'offraient John et Paul.
Cette superbe balade a été écrite dans le jardin du guitariste Éric Clapton par une belle journée ensoleillée d'avril de l'année 1969. George s'était réfugié chez Clapton pour échapper à une journée avec les comptables de Apple...
La chanson a été sélectionnée pour ouvrir la face B de l'album Abbey Road et demeure ce que George a composé de mieux, selon moi.
Here Comes the Sun
À noter : John n’apparaît pas sur l'enregistrement, il récupérait alors d'un accident de voiture.
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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7- Here Comes the Sun (1969)
8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
12.11.13
Huit!
8 jours avant la parution et le compte à rebours des 10 meilleures chansons des Beatles se poursuit avec la numéro 8.
Il s'agit de ma chanson préférée des "Early Beatles" (avant l'album Rubber Soul). C'est une chanson de Paul McCartney dynamique et mélodieuse qui a paru sur l'album Help! en 1965.
Un petit détail amusant: si vous l'écoutez attentivement, vous remarquerez qu'on n'entend pas de basse. C'est en effet une des rares chansons du groupe où l'instrument habituel de McCartney ne figure pas.
I've Just Seen A Face
Je ne peux pas m'empêcher de sourire à chaque fois que je l'entends...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
Il s'agit de ma chanson préférée des "Early Beatles" (avant l'album Rubber Soul). C'est une chanson de Paul McCartney dynamique et mélodieuse qui a paru sur l'album Help! en 1965.
Un petit détail amusant: si vous l'écoutez attentivement, vous remarquerez qu'on n'entend pas de basse. C'est en effet une des rares chansons du groupe où l'instrument habituel de McCartney ne figure pas.
I've Just Seen A Face
Je ne peux pas m'empêcher de sourire à chaque fois que je l'entends...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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8- I've Just Seen A Face (1965)
9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
11.11.13
9 jours...
Oui, plus que neuf jours avant la sortie du volume deux et je poursuis mon "top ten" des meilleures chansons des Beatles avec la numéro 9...
C'est une chanson très spéciale car elle est la seule à offrir à la fois un solo de Ringo (qui détestait les solos de batterie, contrairement à la plupart des batteurs!) et un solo de guitare de non seulement George mais aussi de John ET Paul...
C'est également la dernière chanson du dernier album enregistré par le groupe si on ne compte pas Her Majesty qui s'est retrouvé en tout dernier suite à un excès de zèle d'un technicien d'Abbey Road et qui est considérée comme une "hidden track". Franchement, comme chant du cygne, on ne pouvait espérer mieux: ça commence très rock et ça se se termine en une montée spectaculaire d'harmonies.
The End
Les paroles toutes simples me font encore frissonner:
...and in the end, the love you take is equal to the love you make...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
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9- The End (1969)
10- I Am the Walrus (1967)
10.11.13
Les 10 meilleures chansons des Beatles
Plus que 10 jours avant la sortie du volume 2 le 20 novembre. Je vais profiter de ces dix jours pour faire un décompte des 10 meilleures chansons des Beatles, selon moi bien sûr.
Alors en dixième position, une chanson composée en 1967 par John Lennon et que l'on retrouve sur l'album Magical Mystery Tour. Elle est également parue sur la face B du single Hello Goodbye, dont la chanson titre avait été jugée plus commerciale... Il s'agît selon moi d'un véritable petit chef d'œuvre de psychédélisme britannique:
I Am the Walrus
Pour la petite histoire, il est dit que Lennon l'aurait composé pour confondre les fans qui analysaient et interprétaient ses paroles...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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10- I Am the Walrus (1967)
Alors en dixième position, une chanson composée en 1967 par John Lennon et que l'on retrouve sur l'album Magical Mystery Tour. Elle est également parue sur la face B du single Hello Goodbye, dont la chanson titre avait été jugée plus commerciale... Il s'agît selon moi d'un véritable petit chef d'œuvre de psychédélisme britannique:
I Am the Walrus
Pour la petite histoire, il est dit que Lennon l'aurait composé pour confondre les fans qui analysaient et interprétaient ses paroles...
Les 10 Meilleures Chansons des Beatles
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10- I Am the Walrus (1967)
9.11.13
Une fleur à Rimouski
Les derniers salons du livre auxquels j'ai participé ont été un peu difficile sur le moral... Peu de ventes, quelques signets de distribués, tandis qu'à la table d'à côté, des auteurs plus connus ont droit à un "line-up"... Une dure leçon d'humilité, quoi!
Et bien aujourd'hui au Salon du livre de Rimouski m'est arrivé une petite fleur, un événement dont on m'avait prévenu mais qui m'a quand même complètement prit par surprise. Une jeune demoiselle s'est présentée devant moi avec une copie visiblement usée de mon roman. Elle venait spécialement au salon pour me la faire signer et me dire qu'elle avait adoré (ses mots)!
Ce petit moment m'a fait tellement de bien qu'il fallait que je le partage...
Et bien aujourd'hui au Salon du livre de Rimouski m'est arrivé une petite fleur, un événement dont on m'avait prévenu mais qui m'a quand même complètement prit par surprise. Une jeune demoiselle s'est présentée devant moi avec une copie visiblement usée de mon roman. Elle venait spécialement au salon pour me la faire signer et me dire qu'elle avait adoré (ses mots)!
Ce petit moment m'a fait tellement de bien qu'il fallait que je le partage...
1.11.13
30.9.13
Le salon du livre du Saguenay
Je ne m'attendais pas à grand-chose du salon du Saguenay, sinon de pouvoir enfin visiter un peu la région. J'ai donné une petite entrevue à Planète Radio avec l'animateur Paul Arcand (préenregistrement jeudi, diffusion vendredi matin). Samedi, je me suis pointé à 19 h 30 au centre des congrès Delta, à Jonquière et ai rapidement trouvé le kiosque des Éditeurs Réunis. On m'a installé à une petite table et je venais à peine de m'asseoir qu'on me demandait déjà de l'information sur mon roman!
En moins de trente-cinq minutes, j'ai vendu et signé cinq exemplaires. Je ne tenais plus en place...
Le problème, c'est qu'il ne restait plus aucune copie de mon roman dans le kiosque. 10 livres avaient été commandées et cinq exemplaires avaient déjà été vendus avant que j'arrive. J'ai même dû m'excuser auprès d'une cliente, déçue de ne pas pouvoir se le procurer et me le faire signer. Je ne pouvais rien faire d'autre que de ramasser mes affaires et quitter le salon.
Je suis rentré à Montréal, partagé entre la fierté d'avoir vendu tous les livres et la frustration d'avoir fait tout ce trajet pour si peu, finalement. Six heures de route, le logement, la bouffe et je n'ai même pas pu participer à la séance prévue dimanche. Combien aurais-je vendu d'exemplaires, s'il y en avait eu d'autres de disponibles?
À la veille de la sortie du volume deux, je trouve ce récent engouement pour mon roman encourageant. J'ai hâte de voir si l'intérêt sera toujours aussi présent au Salon du livre du l'Estrie qui se déroule du 17 au 20 octobre. J'ai discuté avec mon éditeur et il m'a assuré prendre les moyens pour que pareille situation ne se reproduise pas.
Désolé de ne pas avoir de photo du salon, mais vous comprendrez que j'y suis resté si peu longtemps!
9.9.13
Satisfaction et mini déception...
« Les Beatles, un roman -1960-1962 » est enfin terminé. Je viens d'envoyer le manuscrit final à l'éditeur. J'ai réussi mon pari fou de publier deux livres en 2013.
J'ai complété la révision la nuit dernière et plutôt que de prendre un congé bien mérité, j'ai entrepris de commencer le volume 3!
Pour la petite histoire, voici les statistiques Word du deuxième (et ma mini déception) :
336 pages, 99 736 mots.
Et oui... La révision m'a fait tomber en bas du chiffre magique de 100 000 mots (sniff!)
Pour la comparaison, les statistiques du volume un étaient les suivantes :
319 pages, 103 685 mots.
Donc il y a plus de lignes blanches dans le deuxième, finalement... Mais il est aussi bon, sinon meilleur!
J'ai complété la révision la nuit dernière et plutôt que de prendre un congé bien mérité, j'ai entrepris de commencer le volume 3!
Pour la petite histoire, voici les statistiques Word du deuxième (et ma mini déception) :
336 pages, 99 736 mots.
Et oui... La révision m'a fait tomber en bas du chiffre magique de 100 000 mots (sniff!)
Pour la comparaison, les statistiques du volume un étaient les suivantes :
319 pages, 103 685 mots.
Donc il y a plus de lignes blanches dans le deuxième, finalement... Mais il est aussi bon, sinon meilleur!
30.8.13
Révision de la révision...
Je viens de recevoir mon manuscrit révisé, avec les commentaires suivants de l'éditrice :
« Ce second opus, je dois dire, est fort bien mené et construit, très alerte et rigolo.
Il y a pas mal de modifs à faire, mais ce n'est rien en comparaison à ce que je dois faire sur d'autres textes.
Je ne sais pas comment vont les ventes avec ce titre, mais j'espère lire l'opus 3!
ça t'en dit long sur mon appréciation. »
J'ai jusqu'au 9 septembre pour approuver ou non les changements suggérés. Sortie prévue pour l'instant le 20 novembre.
Je réalise tranquillement que l'année de ma quarantaine, j'aurai publié deux romans. C'est quand même quelque chose!
« Ce second opus, je dois dire, est fort bien mené et construit, très alerte et rigolo.
Il y a pas mal de modifs à faire, mais ce n'est rien en comparaison à ce que je dois faire sur d'autres textes.
Je ne sais pas comment vont les ventes avec ce titre, mais j'espère lire l'opus 3!
ça t'en dit long sur mon appréciation. »
J'ai jusqu'au 9 septembre pour approuver ou non les changements suggérés. Sortie prévue pour l'instant le 20 novembre.
Je réalise tranquillement que l'année de ma quarantaine, j'aurai publié deux romans. C'est quand même quelque chose!
8.7.13
Le volume 2 est terminé!
Ça y est! En date du 8 juillet 2013, le manuscrit « Les Beatles, un roman : 1960-1962 » est enfin complété. Je viens de l'envoyer aux éditeurs réunis.
292 pages en format Word
100 376 mots
Et meilleurs que le volume 1, selon mes premiers lecteurs!
Si le manuscrit est accepté, l'éditeur prévoit une sortie fin novembre. J'aurais rempli mon pari de publier deux livres la même année.
Je vais maintenant prendre quelques semaines de congé de l'écriture et des Beatles!
292 pages en format Word
100 376 mots
Et meilleurs que le volume 1, selon mes premiers lecteurs!
Si le manuscrit est accepté, l'éditeur prévoit une sortie fin novembre. J'aurais rempli mon pari de publier deux livres la même année.
Je vais maintenant prendre quelques semaines de congé de l'écriture et des Beatles!
14.5.13
50 jours...
50 jours, c'est le temps qui me reste à partir d'aujourd'hui pour terminer le manuscrit du volume deux.
J'en suis exactement à 175 pages et je vise 300. Cela fait deux pages et demi par jours minimum, TOUS les jours. Sans compter la traduction (car j'écris encore mes dialogues en anglais) et la révision.
Je m'en sens capable, mais je mentirais si j'affirmais que je ne sens pas de pression. Ça ne va pas être facile!
Si je me suis mis cette pression, c'est parce que j'espère que la sortie du deuxième la même année que le premier donnera de la crédibilité à la série. De plus, cela permettra de profiter de la saison des fêtes, un avantage dont le premier n'a pas bénéficié. Et si tout va bien, le deuxième paraîtra juste à temps pour le Salon du Livre de Montréal et j'aurais ainsi deux livres à offrir à mon tout premier passage à l'événement.
J'écris avec une belle constance depuis deux semaines. Ma recherche principale est faite, ne reste que certains détails à vérifier et écrire, écrire, écrire...
J'en suis exactement à 175 pages et je vise 300. Cela fait deux pages et demi par jours minimum, TOUS les jours. Sans compter la traduction (car j'écris encore mes dialogues en anglais) et la révision.
Je m'en sens capable, mais je mentirais si j'affirmais que je ne sens pas de pression. Ça ne va pas être facile!
Si je me suis mis cette pression, c'est parce que j'espère que la sortie du deuxième la même année que le premier donnera de la crédibilité à la série. De plus, cela permettra de profiter de la saison des fêtes, un avantage dont le premier n'a pas bénéficié. Et si tout va bien, le deuxième paraîtra juste à temps pour le Salon du Livre de Montréal et j'aurais ainsi deux livres à offrir à mon tout premier passage à l'événement.
J'écris avec une belle constance depuis deux semaines. Ma recherche principale est faite, ne reste que certains détails à vérifier et écrire, écrire, écrire...
1.5.13
Le Salon du livre de la Côte-Nord
Vendredi dernier, après un arrêt d'une nuit chez des amis à Rimouski (Métis, pour être plus précis), j'ai pris la direction du port de Matane. À mon arrivée au traversier, l'employé de la guérite m’accueille par mon nom... Il n'y avait probablement pas beaucoup de Smart qui avaient réservé leur passage à l'avance!
La traversée est agréable et sans histoire. Arrivé à Godbout sur la rive nord, je constate que je n'ai aucun signal cellulaire. C'est à ce moment que j'ai réalisé que j'étais assez loin de chez moi. Et la route qui m'a menée à Sept-îles n'a fait que renforcer cette impression. J'étais seul et à l'autre bout du monde. Heureusement, la ville comme telle était plus animée.
Je suis allé dîner avant de me diriger vers l'Hotel des Gouverneurs. Je m'étais levé très tôt et couché très tard, aussi ai-je décidé, vaillamment, de commencer ce weekend par une sieste... Ma séance de signatures était plus tard en soirée, après le cocktail du maire, où plusieurs personnes m'ont reconnu comme étant "celui qui écrit sur les Beatles". Je ne l'avais pas vu encore, mais le programme du salon avait une photo pour chacun des auteurs qui y assistaient.
Au cocktail, j'ai également eu le plaisir d'une discussion en tête à tête avec Dany Laferrière, qui est un personnage plus vrai que nature. Sympathique, drôle, intelligent, comme dans ses entrevues et dans son écriture...
Le salon avait lieu dans le gymnase du Cégep. Je n'ai pas signé beaucoup de livres, mais j'ai parlé à beaucoup de monde. Il y a même une dame qui s'est laissée convaincre d'acheter mon roman, qui est allée à la caisse, mais qui n'est jamais revenue me voir pour une dédicace. J'étais un peu désolé pour elle!
La soirée s'est terminée autour d'une bière avec des représentantes de Prologue, le distributeur de mon éditeur dans un petit pub sympathique. Mais pas exactement en fait... Dû à un léger malentendu, la soirée s'est véritablement terminée dans un club dont le surnom (je l'ai appris le lendemain) était "la garderie"... Disons que je ne suis pas resté longtemps, je doublais la moyenne d'âge de la place!
Samedi s'annonçait pour être une journée occupée, j'avais décidé, étant le seul auteur des Éditeurs Réunis à avoir accepté l'invitation au Salon, d'y être toute la journée. En matinée, la clientèle était plutôt jeune, mais le stand était situé juste à côté de la scène principale, alors j'ai eu droit à une présentation de Tristan Demers, bédéiste et de Richard Petit, auteur de la série Passepeur.
En après-midi c'était plus "adulte", mais moins achalandé. Heureusement, des invités de marque ont défilés sur la scène: Dany Laferrière et Roch Carrier, entre autres.
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du Salon de Sept-îles. Très chaleureuse et beaucoup moins impersonnelles que les salons précédents. C'est loin, c'est sûr, mais je vais très certainement y retourner!
La traversée est agréable et sans histoire. Arrivé à Godbout sur la rive nord, je constate que je n'ai aucun signal cellulaire. C'est à ce moment que j'ai réalisé que j'étais assez loin de chez moi. Et la route qui m'a menée à Sept-îles n'a fait que renforcer cette impression. J'étais seul et à l'autre bout du monde. Heureusement, la ville comme telle était plus animée.
Je suis allé dîner avant de me diriger vers l'Hotel des Gouverneurs. Je m'étais levé très tôt et couché très tard, aussi ai-je décidé, vaillamment, de commencer ce weekend par une sieste... Ma séance de signatures était plus tard en soirée, après le cocktail du maire, où plusieurs personnes m'ont reconnu comme étant "celui qui écrit sur les Beatles". Je ne l'avais pas vu encore, mais le programme du salon avait une photo pour chacun des auteurs qui y assistaient.
Au cocktail, j'ai également eu le plaisir d'une discussion en tête à tête avec Dany Laferrière, qui est un personnage plus vrai que nature. Sympathique, drôle, intelligent, comme dans ses entrevues et dans son écriture...
Le salon avait lieu dans le gymnase du Cégep. Je n'ai pas signé beaucoup de livres, mais j'ai parlé à beaucoup de monde. Il y a même une dame qui s'est laissée convaincre d'acheter mon roman, qui est allée à la caisse, mais qui n'est jamais revenue me voir pour une dédicace. J'étais un peu désolé pour elle!
La soirée s'est terminée autour d'une bière avec des représentantes de Prologue, le distributeur de mon éditeur dans un petit pub sympathique. Mais pas exactement en fait... Dû à un léger malentendu, la soirée s'est véritablement terminée dans un club dont le surnom (je l'ai appris le lendemain) était "la garderie"... Disons que je ne suis pas resté longtemps, je doublais la moyenne d'âge de la place!
Samedi s'annonçait pour être une journée occupée, j'avais décidé, étant le seul auteur des Éditeurs Réunis à avoir accepté l'invitation au Salon, d'y être toute la journée. En matinée, la clientèle était plutôt jeune, mais le stand était situé juste à côté de la scène principale, alors j'ai eu droit à une présentation de Tristan Demers, bédéiste et de Richard Petit, auteur de la série Passepeur.
En après-midi c'était plus "adulte", mais moins achalandé. Heureusement, des invités de marque ont défilés sur la scène: Dany Laferrière et Roch Carrier, entre autres.
J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du Salon de Sept-îles. Très chaleureuse et beaucoup moins impersonnelles que les salons précédents. C'est loin, c'est sûr, mais je vais très certainement y retourner!
25.4.13
Le tome 2: C'est signé!
C'est le 24 avril 2013 que j'ai apposé ma signature au bas du contrat avec les Éditeurs Réunis pour la publication du tome 2:
Les Beatles, un roman - 1960-1962
J'ai jusqu'au début juillet pour livrer le manuscrit si je veux le voir sur les tablettes le 20 novembre de cette année.
Parlant de manuscrit, je viens tout juste de terminer la première partie qui fait 143 pages et un peu plus de 51 000 mots. Les Beatles doivent décider s'ils acceptent que Brian Epstein devienne leur manager. Spoiler Alert: Oui, tout juste au début de la deuxième partie...
Je prends une pause d'écriture pour le Salon du Livre de la Côte-Nord, qui a lieu du 25 au 28 avril à Sept-îles, mais j'entends bien continuer dès mon retour.
Les Beatles, un roman - 1960-1962
J'ai jusqu'au début juillet pour livrer le manuscrit si je veux le voir sur les tablettes le 20 novembre de cette année.
Parlant de manuscrit, je viens tout juste de terminer la première partie qui fait 143 pages et un peu plus de 51 000 mots. Les Beatles doivent décider s'ils acceptent que Brian Epstein devienne leur manager. Spoiler Alert: Oui, tout juste au début de la deuxième partie...
Je prends une pause d'écriture pour le Salon du Livre de la Côte-Nord, qui a lieu du 25 au 28 avril à Sept-îles, mais j'entends bien continuer dès mon retour.
15.4.13
Le Salon International du Livre de Québec
J'ai quitté Montréal vendredi midi, en début de tempête de neige, à bord de ma petite Smart qui avait déjà ses pneus d'été... Heureusement, le blizzard n'a duré qu'une demi-heure et j'ai devancé la tempête jusqu'à Québec.
Ma séance de signature était sur l'heure du souper, alors avec la température, il n'y avait pas un chat.
Par contre, j'ai revu mon éditeur qui m'a montré le concept de la couverture pour la suite. C'était exactement ce à quoi je m'attendais, alors je suis très satisfait. Va falloir que je le finisse, ce deuxième roman, je n'ai plus le choix!
Le lendemain, il ne neigeait plus et selon ce qu'on m'a dit, une foule pareille ne s'était pas vue depuis 15 ans... Je commençais la journée avec une entrevue à l'espace Tandem avec M. Stanley Péan. Juste avant de monter sur scène, il m'a demandé de choisir un extrait à lire devant tout le monde. J'ai choisi le dernier chapitre de la première partie, un petit bout où il n'y avait pas de dialogues (je n'avais pas envie de me mettre à imiter John Lennon parlant français!).
L'entrevue s'est bien déroulée, des questions intéressantes et je pense bien m'en être sorti correctement. Ce n'est pas évident d'avoir à la fois un intervieweur et un public!
Ma deuxième séance de signature était en fin d'après-midi et j'ai dépassé ma moyenne d'un livre par heure de signatures. Pas de beaucoup, mais quand même... Et c'était vrai qu'il y avait du monde! Les gens avaient parfois de la difficulté à circuler devant le stand 269 des Éditeurs Réunis. Ça c'est calmé dans la dernière demi-heure de ma séance.
Bref, une expérience très intéressante.
Cette semaine est consacrée à l'écriture du deuxième, qui avance. La première partie est presque terminée (ou la troisième partie, puisque le premier compte deux parties et que c'est toujours la même histoire!)
2.4.13
Commentaires de lecteurs
Je pense qu'il est inutile de préciser que j'adore recevoir des commentaires sur mon roman (particulièrement s'ils sont positifs!), alors ne vous gênez pas, par courriel ou par le biais de la Page Facebook du roman. Et un petit « j'aime » sur cette même page est toujours apprécié!
Donc, des commentaires, j'en reçois quand même régulièrement depuis quelques semaines, que ce soit d'amis, de parents et même d'inconnus. Je tenais à en partager quelques-uns ici :
« Pour un livre qui n'est pas du tout dans mes 'genres' préférés, j'ai adoré. Ça se lit comme on mange un petit pain chaud, ça se dévore. »
« Éric, j'ai terminé ton livre, et je tiens à te féliciter!! Je me suis laissé porter, ça s'est lu tout seul !!! Tu as très bien capté la personnalité de tous les personnages connus, et même des moins connus... Je n'ai eu aucun mal à imaginer les Pete Best, Stuart, Mimi, Cynthia, Astrid, etc. L'irrévérence de Lennon, l'humour de Liverpool, les faits divers impliquant des capotes en feu... Tout y était!! Et comme je m'en doutais bien, je n'ai pas été surpris de constater que tu écris très bien. J'ai franchement très hâte de lire la suite! »
« Je viens de finir ton livre. Ça m'a donné le goût d'en connaître plus sur les Beatles parce que j'avais trop hâte de connaître la suite. J'ai commencé à regarder The Beatles Anthology. Ton livre nous met vraiment dans l'ambiance de l'époque. J'ai bien aimé quand ils sont en Allemagne. »
« J'ai bien apprécié la lecture et je suis prêt à le suggérer à n'importe qui surtout ceux qui aiment les Beatles... Je te souhaite bonne écriture et j'attends le prochain tome... »
« J'ai fini ton livre.... Wow! Merci! Tu m'as donné le goût d'aller voir des photos de l'époque. Je ne les connais pas beaucoup, mais tu as ouvert mon intérêt. J'ai très hâte de lire la suite.... »
« Je viens tout juste de le finir. C'est te dire comment j'ai trouvé cela intéressant et distrayant. J'ai l'habitude de prendre mon temps pour lire, mais j'étais captivée par ce récit. Évidemment on connait le dénouement, mais ça n'enlève rien à cette lecture. Bien écrit et assurément bien documenté. J'ai hâte de lire la suite... »
« J'ai commencé ma relâche par la lecture de ton roman. Je l'ai lu d'un trait, lundi. C'est vraiment excellent. J'ai très hâte au tome 2! Bravo! Bravo! Bravo! »
« Je voulais juste t'écrire un petit mot pour te dire que j'ai adoré ton livre. En effet, il était grand temps que quelqu'un écrive un roman sur Les Beatles. J'ai hâte que tu sortes le deuxième. Je suis maintenant une fan. »
« Je t’écris aujourd’hui pour te communiquer toute la passion avec laquelle j’ai lu ton livre. Ton adaptation de l’histoire des Beatles sous la forme d’un roman est très bien réussie. J’ai pour ma part été bluffé par la manière dont tu manipules les mots pour donner au roman un sens historique, mais aussi un léger suspense en trame de fond. Il ne m’a fallu que quatre jours pour dévorer ton livre et j’en demande encore. Ce que j’ai le plus apprécié de Les Beatles 1957-1960 c’est la précision avec laquelle tu décris les personnages et c’est cela qui donne un sens réaliste à l’histoire et viens agrémenter le roman de sentiments plutôt que d’information impertinente que l’on peut obtenir en lisant un banal ouvrage de documentation. [...] Je voie en toi un modèle et je pense que tu possèdes une manière t’écrire qui t’est propre. Continue! Je t’encourage à plein cœur dans ta poursuite de l’écriture. »
« Tu m'as eu salaud! ;-) Déjà le quart de lu et je me bidonne, et je me passionne... Vendu d'avance aux personnages, je ne m'attendais pas à embarquer autant. Et pourtant... Chapeau bas! »
Donc, des commentaires, j'en reçois quand même régulièrement depuis quelques semaines, que ce soit d'amis, de parents et même d'inconnus. Je tenais à en partager quelques-uns ici :
« Pour un livre qui n'est pas du tout dans mes 'genres' préférés, j'ai adoré. Ça se lit comme on mange un petit pain chaud, ça se dévore. »
— François Roy
« Éric, j'ai terminé ton livre, et je tiens à te féliciter!! Je me suis laissé porter, ça s'est lu tout seul !!! Tu as très bien capté la personnalité de tous les personnages connus, et même des moins connus... Je n'ai eu aucun mal à imaginer les Pete Best, Stuart, Mimi, Cynthia, Astrid, etc. L'irrévérence de Lennon, l'humour de Liverpool, les faits divers impliquant des capotes en feu... Tout y était!! Et comme je m'en doutais bien, je n'ai pas été surpris de constater que tu écris très bien. J'ai franchement très hâte de lire la suite! »
— Louis-Gabriel Pothier
« PS : Aujourd'hui, j'ai appris c'était quoi un "Moondog". Je me couche très très moins niaiseux ce soir. ;) »« Je viens de finir ton livre. Ça m'a donné le goût d'en connaître plus sur les Beatles parce que j'avais trop hâte de connaître la suite. J'ai commencé à regarder The Beatles Anthology. Ton livre nous met vraiment dans l'ambiance de l'époque. J'ai bien aimé quand ils sont en Allemagne. »
— Lydie Servanin
« J'ai bien apprécié la lecture et je suis prêt à le suggérer à n'importe qui surtout ceux qui aiment les Beatles... Je te souhaite bonne écriture et j'attends le prochain tome... »
— Ronald Roy
« J'ai fini ton livre.... Wow! Merci! Tu m'as donné le goût d'aller voir des photos de l'époque. Je ne les connais pas beaucoup, mais tu as ouvert mon intérêt. J'ai très hâte de lire la suite.... »
— Susie Binette
« Je viens tout juste de le finir. C'est te dire comment j'ai trouvé cela intéressant et distrayant. J'ai l'habitude de prendre mon temps pour lire, mais j'étais captivée par ce récit. Évidemment on connait le dénouement, mais ça n'enlève rien à cette lecture. Bien écrit et assurément bien documenté. J'ai hâte de lire la suite... »
— Christiane Huot
« J'ai commencé ma relâche par la lecture de ton roman. Je l'ai lu d'un trait, lundi. C'est vraiment excellent. J'ai très hâte au tome 2! Bravo! Bravo! Bravo! »
— Isabelle Audy
« Je voulais juste t'écrire un petit mot pour te dire que j'ai adoré ton livre. En effet, il était grand temps que quelqu'un écrive un roman sur Les Beatles. J'ai hâte que tu sortes le deuxième. Je suis maintenant une fan. »
— Nancy Carter
« Je t’écris aujourd’hui pour te communiquer toute la passion avec laquelle j’ai lu ton livre. Ton adaptation de l’histoire des Beatles sous la forme d’un roman est très bien réussie. J’ai pour ma part été bluffé par la manière dont tu manipules les mots pour donner au roman un sens historique, mais aussi un léger suspense en trame de fond. Il ne m’a fallu que quatre jours pour dévorer ton livre et j’en demande encore. Ce que j’ai le plus apprécié de Les Beatles 1957-1960 c’est la précision avec laquelle tu décris les personnages et c’est cela qui donne un sens réaliste à l’histoire et viens agrémenter le roman de sentiments plutôt que d’information impertinente que l’on peut obtenir en lisant un banal ouvrage de documentation. [...] Je voie en toi un modèle et je pense que tu possèdes une manière t’écrire qui t’est propre. Continue! Je t’encourage à plein cœur dans ta poursuite de l’écriture. »
— Vincent Blondeau
« Tu m'as eu salaud! ;-) Déjà le quart de lu et je me bidonne, et je me passionne... Vendu d'avance aux personnages, je ne m'attendais pas à embarquer autant. Et pourtant... Chapeau bas! »
— Edgar Strabéri
25.3.13
Le Salon du livre de Trois-Rivières
Au centre des Congrès de l'Hotel Delta du 21 au 24 mars 2013.
J'avais deux séances de dédicaces le samedi soir et le dimanche après-midi. Puisque Trois-Rivières n'est qu'à une heure et demie de Montréal, j'avais pris la décision de me taper l'aller-retour les deux jours. Ça fait tout de même six heures de route dans ma fin de semaine, ce qui est beaucoup!
L'expérience en a valu la peine. Le stand des Éditeurs Réunis était dans la première rangée à droite de l'entrée principale. La salle était plus petite qu'au Salon de l'Outaouais, mais l'achalandage m'a paru plus important. La première séance a été tranquille, mais j'ai eu le plaisir de discuter avec Pierre H. Charron, un auteur de science-fiction pour jeunes adultes. Il m'a parlé du milieu littéraire québécois, suggéré de m'inscrire au site Goodreads et donné de judicieux conseils sur l'utilisation de Facebook pour promouvoir mon livre. Il était là pour y parler de son dernier : Les Clowns Vengeurs: L'initié. Je lui en aurais bien acheté un, mais comme un imbécile, j'avais oublié mon porte-feuille au vestiaire... Je me reprendrais au Salon du Livre de Québec!
Dimanche, ç’a été plus occupé. J'ai eu l'impression de parler non-stop de mon roman pendant les deux heures qu'on durée la séance. Côté signatures et bien, on m'a dit qu'une moyenne d'une signature par heure était tout à fait normale pour un écrivain inconnu... C'est exactement ce que j'ai fait au cours du weekend, donc je suis très satisfait.
J'ai également eu la chance de discuter brièvement avec Pierre Szalowski qui était l'invité d'honneur du salon. C'est grâce à lui si j'ai été bien conseillé lors de la négociation de mon premier contrat, alors c'est toujours agréable de l'en remercier! Son dernier roman est disponible depuis l'automne : Mais qu'est ce que tu fais là, tout seul?
La semaine qui s'en vient sera consacrée à l'écriture. J'ai franchi le cap de la centaine de pages, c'est toujours motivant. John et Paul viennent d'adopter la coupe « mop top » pour la première fois et Brian Epstein, à la demande d'un client, est à la recherche du single « My Bonnie »...
J'avais deux séances de dédicaces le samedi soir et le dimanche après-midi. Puisque Trois-Rivières n'est qu'à une heure et demie de Montréal, j'avais pris la décision de me taper l'aller-retour les deux jours. Ça fait tout de même six heures de route dans ma fin de semaine, ce qui est beaucoup!
L'expérience en a valu la peine. Le stand des Éditeurs Réunis était dans la première rangée à droite de l'entrée principale. La salle était plus petite qu'au Salon de l'Outaouais, mais l'achalandage m'a paru plus important. La première séance a été tranquille, mais j'ai eu le plaisir de discuter avec Pierre H. Charron, un auteur de science-fiction pour jeunes adultes. Il m'a parlé du milieu littéraire québécois, suggéré de m'inscrire au site Goodreads et donné de judicieux conseils sur l'utilisation de Facebook pour promouvoir mon livre. Il était là pour y parler de son dernier : Les Clowns Vengeurs: L'initié. Je lui en aurais bien acheté un, mais comme un imbécile, j'avais oublié mon porte-feuille au vestiaire... Je me reprendrais au Salon du Livre de Québec!
Dimanche, ç’a été plus occupé. J'ai eu l'impression de parler non-stop de mon roman pendant les deux heures qu'on durée la séance. Côté signatures et bien, on m'a dit qu'une moyenne d'une signature par heure était tout à fait normale pour un écrivain inconnu... C'est exactement ce que j'ai fait au cours du weekend, donc je suis très satisfait.
J'ai également eu la chance de discuter brièvement avec Pierre Szalowski qui était l'invité d'honneur du salon. C'est grâce à lui si j'ai été bien conseillé lors de la négociation de mon premier contrat, alors c'est toujours agréable de l'en remercier! Son dernier roman est disponible depuis l'automne : Mais qu'est ce que tu fais là, tout seul?
La semaine qui s'en vient sera consacrée à l'écriture. J'ai franchi le cap de la centaine de pages, c'est toujours motivant. John et Paul viennent d'adopter la coupe « mop top » pour la première fois et Brian Epstein, à la demande d'un client, est à la recherche du single « My Bonnie »...
7.3.13
3.3.13
Le salon du livre de l'Outaouais
Mon premier salon du livre en tant qu'auteur, le Salon du livre de l'Outaouais avait lieu du 28 février au 3 mars 2013.
Invité par mon éditeur à faire deux séances de signatures les vendredi et samedi; et convoqué par la Première Chaîne de Radio-Canada pour une entrevue samedi matin en direct du salon devant public, je me suis donc rendu à Gatineau le vendredi après-midi.
Le Stand #203 était situé non loin de l'entrée, dans la section des éditeurs distribués par Prologue. J'avais en face de moi un stand de livres psychologique, à ma gauche une collection de livres pour enfants et à ma droite les livres exposés de mon propre éditeur. Le salon était divisé en deux grandes pièces et possédait deux scènes desquelles étaient diffusées des émissions de radio en direct.
L'expérience des dédicaces a été beaucoup plus agréable que dans un centre d'achat! Les gens viennent discuter, les bénévoles sont sympathiques, bref, ça passe très vite.
L'entrevue du samedi, à 8 h 20 s'est bien déroulé aussi. L'émission était diffusée en direct du Salon, devant un public et vous pouvez l'écouter ici :
Divines Tentations à La Première Chaîne
Divines Tentations à La Première Chaîne
La deuxième séance était prévue en soirée à 19 h 30. J'avais déjà fait le tour du salon la veille alors je me suis permis une petite escapade au Casino du Lac-Leamy où j'ai gagné assez pour couvrir mes dépenses de la fin de semaine. Vive le Texas Hold'em!
Pour ce qui est de la deuxième séance de dédicaces, tous les experts vous le diront : il y a beaucoup moins de monde dans les salons le samedi soir... Par contre, une dame m'a agréablement surprise en me disant qu'elle venait me voir parce qu'elle avait entendu mon entrevue du matin. Inutile de préciser qu'elle a reçu une dédicace très enthousiaste!
Je suis rentré à Montréal le soir même, en pleine tempête de neige. J'ai maintenant hâte au Salon du livre de Trois-Rivières dans deux semaines. Je vais tenter d'agrémenter ma présentation. Les deux pancartes que j'ai sont biens, mais je pense utiliser ma tablette pour diffuser des images des Fab fours et peut-être de mon lancement, histoire d'accrocher un peu plus les regards.
17.2.13
Tony Sheridan
Février a été définitivement plus tranquille. Je me suis donc concentré sur l'écriture du tome deux. J'en suis présentement à 91 pages. Les Beatles viennent de finir leur premier enregistrement professionnel en Allemagne avec Tony Sheridan. Par une étrange coïncidence, pendant que j'écrivais ce passage, le véritable Tony Sheridan est décédé à l'âge de 72 ans.
Tony Sheridan, 1940, 2013
4.2.13
Fin janvier
Quelques entrevues au cours des deux dernières semaines :
Aux P'tits Bonheurs, CJLM 103,4 à Joliette
À Showbizz, CJSO, 101,7 FM, la Radio du Bas-Richelieu
Vous pouvez également écouter une de mes premières à BOOM FM :
http://www.boomfm.com/Channels/Annie/Story.aspx?ID=1871583
Jeudi dernier, j'ai été invité à participer à un Midi-Motivation, organisé par le Centre Local de Développement de Verdun. On m'a présenté, ainsi que mon roman et j'ai distribué des signets à tout le monde qui était présent. Je suis toujours un peu gêné de faire du « PR », mais je m'en suis sorti pas mal.
Le soir, je faisais une séance de dédicaces à la Librairie de Verdun et le samedi suivant à la Librairie Carcajou à Laval. Choses à retenir de ces expériences :
— Attendre d'être un peu plus connu avant d'en faire d'autres... Disons que je n'ai pas vendu beaucoup de livres!
— Les gens s'arrêtent cinq minutes, discutent un peu, mais n'achètent pas.
— Je suis beaucoup moins social que j'aimerais l'être!
— Ce n’est pas mauvais pour le côté philosophique... On a beaucoup de temps pour penser.
— La musique du Centre Duvernay est somme toute assez bonne.
— Le plaisir de signer un roman à une jolie inconnue est enivrant, même si elle demande de le faire au nom de son copain...
J'ai également vécu une expérience particulière la semaine dernière et fait quelque chose que jamais je n'aurais cru faire dans ma vie : j'ai acheté le magazine Échos Vedettes. On y mentionnait mon roman dans la section « Chez le libraire ». Un sixième de page avec une belle photo de la couverture et un petit texte explicatif.
Sinon, j'ai passé la semaine à travailler sur le tome 2. J'ai enfin trouvé ce que les Amerloques appellent un « hook » pour la première partie, ce qui devrait donner un peu plus de direction au récit. J'ai écrit une vingtaine de pages, ce qui m'amène à près de 75. Ça avance!
J'ai aussi commencé à recevoir des critiques d'amis qui me lisent et c'est toujours très agréable d'entendre leurs commentaires. Je constate que c'est bien apprécié.
Et dernier petit velours, en me rendant voir un spectacle du bluesman Pat Loiselle samedi, je suis passé devant Limasson, une petite libraire de quartier sur la rue Masson. Surprise, mon roman y était exposé en vitrine, tout juste en dessous de la biographie de Steve Jobs...
19.1.13
La semaine après...
Le lendemain du lancement, j'étais vraiment crevé! Tout le stress, toutes les émotions m'ont lentement quitté... J'ai fait deux siestes au cours de la journée, ainsi qu'une entrevue radiophonique sur les ondes de CJSO, la radio du Bas-Richelieu à l'émission « C'est toujours un plaisir ».
Le lendemain, j'en avais trois :
« En Transit » à CIEU fm, 94,9, la radio de la Baie-des-Chaleurs
« Rouge Café » à Rouge fm, 99,9 à Amqui
« Taxi » à BOOM fm, 104,1
Les animateurs me surprennent toujours avec une question inattendue, du genre qu'est-ce qu'un roman historique, quelle chanson des Beatles représenterait votre roman, collectionnez-vous tout ce qui se fait sur les Fab Four... Je considère que je m'en sors pas mal, je prends de l'expérience. On m'a dit que j'avais une voix très radiophonique et deux des animateurs avaient lu le roman et m'en ont félicité.
Congé d'entrevue le vendredi, mais une dernière samedi à Rouge fm Estrie, l'émission « Weekend Plaisirs Fous », 102,7. Je contrôle mieux mon stress, je ne suis nerveux que dix minutes avant l'entrevue maintenant, plutôt que quelques heures!
Je prends le weekend pour récupérer et je me remets à la rédaction du tome 2 dès lundi.
Le lendemain, j'en avais trois :
« En Transit » à CIEU fm, 94,9, la radio de la Baie-des-Chaleurs
« Rouge Café » à Rouge fm, 99,9 à Amqui
« Taxi » à BOOM fm, 104,1
Les animateurs me surprennent toujours avec une question inattendue, du genre qu'est-ce qu'un roman historique, quelle chanson des Beatles représenterait votre roman, collectionnez-vous tout ce qui se fait sur les Fab Four... Je considère que je m'en sors pas mal, je prends de l'expérience. On m'a dit que j'avais une voix très radiophonique et deux des animateurs avaient lu le roman et m'en ont félicité.
Congé d'entrevue le vendredi, mais une dernière samedi à Rouge fm Estrie, l'émission « Weekend Plaisirs Fous », 102,7. Je contrôle mieux mon stress, je ne suis nerveux que dix minutes avant l'entrevue maintenant, plutôt que quelques heures!
Je prends le weekend pour récupérer et je me remets à la rédaction du tome 2 dès lundi.
16.1.13
Le lancement
J'espérais pouvoir me rendormir après l'entrevue de 7 h 40, mais non. Trop de trucs à planifier pour le lancement, comme le tout dernier rappel Facebook et la playlist de la soirée. J'y suis allé avec une chanson des Beatles, suivit d'un cover, suivit d'une autre chanson des Beatles et ensuite un Mashup pour revenir à une chanson des Beatles et ainsi de suite. Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est un Mashup, ce sont deux chansons d'artistes différents mélangées ensemble. Par exemple la mélodie au piano de « Let It Be », mais avec Bob Marley par dessus qui chante « No Woman No Cry ». La playlist durait 3 h 40, ce que je considérais comme amplement.
J'avais rendez-vous au Edgar à 14 h pour un « sound check » avec celui que j'avais pris l'habitude de nommer « mon John Lennon », la petite surprise musicale de la soirée. J'ai également testé ma tablette Nexus comme système de son et tout fonctionnait parfaitement.
J'espérais rentrer chez moi en après-midi pour une sieste, mais je n'ai pas eu le temps. Encore trop de choses à faire. Je suis retourné au Edgar vers 18 h 15. Il y avait déjà du monde. Le temps d'installer les deux affiches que j'avais fait faire et les livres à l'entrée que déjà encore plus de monde arrivait. Je me suis installé à une table pour dédicacer mon roman vers 18 h 45 et je n'ai pratiquement pas arrêté jusqu'à 23 h.
La soirée a été un déferlement de visages, de félicitations, de poignées de main et d'embrassades. Je voyais mon roman dans toutes les mains. Je revoyais d'anciens collègues, des amis du secondaire, des membres de ma famille, mes meilleurs amis... J'ai essayé d'y aller avec une dédicace personnalisée pour les gens que je connaissais bien, mais à quelques moments dans la soirée, l'inspiration m'a manqué! J'ai découvert le lendemain que j'avais probablement signé près d'une centaine de copies. Pas pour rien que j'avais mal à l'omoplate droite à la fin de la soirée.
Bref, ce fut une soirée au-delà de mes espérances. Je m'attendais à une cinquantaine de personnes, j'en ai eu le double. Je ne pouvais pas demander mieux. La prestation qu'a donnée Norman Di Blasio (mon John Lennon) était énergique et entraînante. Pour la petite histoire, Norman jouait John Lennon dans Beatles Story, le spectacle qui couvre la totalité de la carrière des Fab Four. Je l'avais vu l'année dernière et j'avais trouvé que des quatre musiciens, il était de loin le meilleur. Une bonne amie m'a informé qu'il était allé à la même école secondaire que nous et elle m'a mis en contact avec lui. Emballé par mon roman, il avait accepté de venir jouer à mon lancement.
Norman a donc joué environ vingt-cinq minutes, enchaînant une dizaine de chansons. Sa voix était forte et claire, son doigté adroit. Il ne s'attendait pas à voir tant de monde et m'a affirmé par la suite qu'il était très nerveux. Ça n'a pas paru une seconde! En plus d'avoir été un excellent spectacle, cet intermède musical m'a permis de faire une pause de signatures et de constater que le Edgar Hypertaverne était plein à craquer. Partout des visages familiers. Un succès comme je n'avais osé l'espérer.
La soirée s'est terminée vers minuit et malgré la fatigue, j'ai accepté d'aller boire un verre de champagne avec deux vieux amis et quelques nouveaux... Une excellente conclusion à une soirée géniale.
J'avais rendez-vous au Edgar à 14 h pour un « sound check » avec celui que j'avais pris l'habitude de nommer « mon John Lennon », la petite surprise musicale de la soirée. J'ai également testé ma tablette Nexus comme système de son et tout fonctionnait parfaitement.
J'espérais rentrer chez moi en après-midi pour une sieste, mais je n'ai pas eu le temps. Encore trop de choses à faire. Je suis retourné au Edgar vers 18 h 15. Il y avait déjà du monde. Le temps d'installer les deux affiches que j'avais fait faire et les livres à l'entrée que déjà encore plus de monde arrivait. Je me suis installé à une table pour dédicacer mon roman vers 18 h 45 et je n'ai pratiquement pas arrêté jusqu'à 23 h.
La soirée a été un déferlement de visages, de félicitations, de poignées de main et d'embrassades. Je voyais mon roman dans toutes les mains. Je revoyais d'anciens collègues, des amis du secondaire, des membres de ma famille, mes meilleurs amis... J'ai essayé d'y aller avec une dédicace personnalisée pour les gens que je connaissais bien, mais à quelques moments dans la soirée, l'inspiration m'a manqué! J'ai découvert le lendemain que j'avais probablement signé près d'une centaine de copies. Pas pour rien que j'avais mal à l'omoplate droite à la fin de la soirée.
Bref, ce fut une soirée au-delà de mes espérances. Je m'attendais à une cinquantaine de personnes, j'en ai eu le double. Je ne pouvais pas demander mieux. La prestation qu'a donnée Norman Di Blasio (mon John Lennon) était énergique et entraînante. Pour la petite histoire, Norman jouait John Lennon dans Beatles Story, le spectacle qui couvre la totalité de la carrière des Fab Four. Je l'avais vu l'année dernière et j'avais trouvé que des quatre musiciens, il était de loin le meilleur. Une bonne amie m'a informé qu'il était allé à la même école secondaire que nous et elle m'a mis en contact avec lui. Emballé par mon roman, il avait accepté de venir jouer à mon lancement.
Norman a donc joué environ vingt-cinq minutes, enchaînant une dizaine de chansons. Sa voix était forte et claire, son doigté adroit. Il ne s'attendait pas à voir tant de monde et m'a affirmé par la suite qu'il était très nerveux. Ça n'a pas paru une seconde! En plus d'avoir été un excellent spectacle, cet intermède musical m'a permis de faire une pause de signatures et de constater que le Edgar Hypertaverne était plein à craquer. Partout des visages familiers. Un succès comme je n'avais osé l'espérer.
La soirée s'est terminée vers minuit et malgré la fatigue, j'ai accepté d'aller boire un verre de champagne avec deux vieux amis et quelques nouveaux... Une excellente conclusion à une soirée géniale.
15.1.13
Première entrevue radiophonique
Je viens de faire ma toute première entrevue radiophonique, sur les ondes du 96,9 au Saguenay. L'émission s'appelait « Rouge Café ». C'était à 7 h 45 du matin. Pas ma meilleure heure. Je m'étais couché à 2 h et avais mal dormi jusqu'à 5 h 30...
Je pense que ça a bien été, mais j'étais encore ultra-nerveux alors ça a passé très, très vite. J'ai bien aimé leur dernière question : quelle chanson des Beatles devraient-ils faire jouer en onde pour leur « coup de coeur de huit heures »? La seule qui m'est venue à l'esprit a été « Get Back ». Pas ma préférée, mais ça groove un peu! Le commentaire en onde de l'animateur : « Je pensais qu'il allait nous sortir une chanson obscure que personne connait, mais non... » Sympa.
J'ai encore quatre entrevues à la radio cette semaine (BOOM, CJSO et Rouge un peu partout au Québec). Je devrais être moins nerveux après tout ça...
Lancement ce soir à 19 h. Je passe au Edgar à 14 h pour un « sound test » avec Norman, mon John Lennon. J'y reviens à 17 h pour installer mes affiches et les livres à vendre. Tout est prêt, le Edgar parle même de l’évènement sur Facebook et Twitter. Ça va être toute une soirée!
Je pense que ça a bien été, mais j'étais encore ultra-nerveux alors ça a passé très, très vite. J'ai bien aimé leur dernière question : quelle chanson des Beatles devraient-ils faire jouer en onde pour leur « coup de coeur de huit heures »? La seule qui m'est venue à l'esprit a été « Get Back ». Pas ma préférée, mais ça groove un peu! Le commentaire en onde de l'animateur : « Je pensais qu'il allait nous sortir une chanson obscure que personne connait, mais non... » Sympa.
J'ai encore quatre entrevues à la radio cette semaine (BOOM, CJSO et Rouge un peu partout au Québec). Je devrais être moins nerveux après tout ça...
Lancement ce soir à 19 h. Je passe au Edgar à 14 h pour un « sound test » avec Norman, mon John Lennon. J'y reviens à 17 h pour installer mes affiches et les livres à vendre. Tout est prêt, le Edgar parle même de l’évènement sur Facebook et Twitter. Ça va être toute une soirée!
11.1.13
Mon livre est sur les tablettes
Mercredi matin, j'étais debout à 9h30. N'importe qui me connait bien sait que cette heure-là, c'est pas mal le milieu de ma nuit... Mais bon, l'excitation était trop forte, je devais voir si mon livre était en vente dans la plupart des grandes librairies montréalaises.
J'ai fait trois Renaud Bray, un Archambault et même le chapters du centre-ville. Rien. Partout la même réponse: "On devrait l'avoir cette semaine".
Le lendemain, j'ai fait le Renaud Bray de la rue Parc, mais ils ne l'avaient toujours pas.
Je suis passé par le Archambault au coin de Berri et Ste-Catherine et c'est là que je l'ai vu pour la première fois, dans la section "Romans Québécois", tout juste à côté de Michel Tremblay:
Et plus tard dans la journée, des amis m'ont confirmé en avoir vu au Renaud Bray du Complexe Desjardins, à celui de Côte des Neiges et même à Rimouski!
Le vendredi, je suis allé au Renaud Bray de Côte des Neiges parce qu'on m'avait dit qu'il était placé sur un présentoir. Je n'ai pas été déçu:
Reste maintenant à voir si ça va se vendre!
J'ai fait trois Renaud Bray, un Archambault et même le chapters du centre-ville. Rien. Partout la même réponse: "On devrait l'avoir cette semaine".
Le lendemain, j'ai fait le Renaud Bray de la rue Parc, mais ils ne l'avaient toujours pas.
Je suis passé par le Archambault au coin de Berri et Ste-Catherine et c'est là que je l'ai vu pour la première fois, dans la section "Romans Québécois", tout juste à côté de Michel Tremblay:
Le vendredi, je suis allé au Renaud Bray de Côte des Neiges parce qu'on m'avait dit qu'il était placé sur un présentoir. Je n'ai pas été déçu:
7.1.13
Première entrevue et première critique
Dimanche, j'étais reçu sur le plateau de RDI Matin Weekend pour une entrevue avec Louis Lemieux. Inutile de vous dire que j'étais nerveux à en « shaker »... J'ai beau avoir travaillé pendant 16 ans en télévision, c'était ma première fois « live » devant les caméras. C'était étrange de me retrouver dans la salle de nouvelle sans avoir à y travailler! J'ai eu droit au stationnement gratuit, on m'a offert un café et apporter un verre d'eau. Je suis passé au maquillage, fier comme un pape, mais toujours aussi nerveux. Heureusement, la seconde que je me suis assis sur le plateau, le stress a complètement disparu! L'entrevue de six minutes a passé tellement vite que je ne me rappelle plus de rien. J'espérais pouvoir la revoir sur le site de Radio-Canada, mais elle ne s'y retrouve pas. Toutes les autres entrevues de M. Lemieux s'y retrouvent, mais pas la mienne. Merci RDI.
Le lendemain matin, Émilie Perreault a offert à ses auditeurs la toute première critique de mon roman, à la radio du 98,5, l'émission « Puisqu'il faut se lever ».
98,5 fm audioplayer
Je suis resté sans voix après l'écoute de ce segment. C'est extrêmement positif et ça augure bien pour la suite. Le roman sera disponible dans deux jours en librairie. Je suis plus motivé que jamais à travailler sur le tome 2...
4.1.13
Le voici, enfin!
Un couriel de mon éditeur hier (jeudi) m'indiquait que 120 copies de mon roman m'attendaient dans leur bureau à Marieville. Conscient que ce nombre de livres ne rentrerait probablement pas dans ma petite Smart, j'ai dû me trouver un autre moyen de transport pour ramener tout ça à la maison. Ma mère et son copain sont à remercier pour ce coup de pouce de dernière minute. Sinon, j'aurais dû attendre jusqu'à lundi et franchement, je n'aurais pas supporté!
3.1.13
Première entrevue
Lorsque j'ai quitté Radio-Canada en septembre, de nombreux collègues ne me croyaient pas vraiment quand je leur disais qu'après 16 ans, c'était bel et bien terminé. Je leur disais alors que la prochaine fois que je retournerais à Radio-Canada, ce serait pour être devant la caméra, point final.
Et bien je ne me trompais pas : la responsable du marketing de mon éditeur vient de me demander si j'étais disponible pour une entrevue avec Louis Lemieux, dans le cadre de RDI Matin Weekend, ce dimanche 6 janvier...
Inutile de vous dire que j'ai soudainement le trac. J'ai beau avoir oeuvré en télévision pendant plus de 16 ans, je ne me suis jamais retrouvé « live » devant les caméras. D'un autre côté, je suis déjà passé sur les ondes de Radio-Canada en ne portant rien d'autre qu'un Speedo rouge et un casque d'armée. Alors je sais bien que le ridicule ne tue pas!
Voici quelques objectifs que je me suis fixés :
— pas de juron.
— Le moins d'expressions anglaises possible.
— Mentionner que c'est le premier d'une série.
— Mettre l'emphase sur le fait qu'il n'y a jamais eu de roman historique sur les Beatles. J'ai écrit le livre que je n'ai jamais trouvé.
— Parler de l'histoire d'amour entre le Québec et les Beatles, avec des spectacles comme Love, Beatles Story et des disques comme Fab Forever...
— Ne pas me mettre de doigt dans le nez.
Ça devrait bien aller.
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